Abysses infernaux

Je m’enfonce, encore et encore
Dans la spirale noire, qu’est l’or
De la monotonie de la mélancolie
Ô combien de violence, d’agressivité ; sans aucune accalmie
Et d’indifférence en ce bas-monde ;
Qui m’attirent vers le bas, les catacombes
Et m’aspirent mon essence.
 
 
C’est un sentiment incertain,
Soudain et malsain qui m’étreins,
Mon cœur se serre et je n’en comprends pas la raison
J’essaie de me convaincre que c’est une aberration,
Mais ce serait clairement malhonnête
D’affirmer que quelque chose ne va pas dans mA..nOtRe tête.
 
 
Je ne sais ce qui m’arrive,
Je sens en moi une forme paraissant agressive ,
Qui ne cherche qu’à m’aspirer vers le néant
Mais jE..NoUs savons que ce n’est bienséant…
Et QuE J…e.. nOuS DeVons lutter.
 
 
J…e crois ( croYoNs ?) que NoUs vEnOnS de comprendre,
Le gouffre de la FoLiE vient de se distendre,
Sous mes (nos ?) yeux,
Tandis que le vent impétueux,
De ce même gouffre abyssal,
Cherche à m’ ( NoUs ? ) attirer vers les profondeurs ancestrales.
 
 
C’est de plus en plus dur,
J……….e.. ( NOUS ?) la sens qui se craquelle, mon armure,
Petit à petit, tandis que se crée
En moi un vide émotionnel, d’une beauté
Surprenante,
Impressionnante,
Et les lambeaux de m..o….n – NOTRE-  âme
S’étiolent dans le vent, puis, une larme
Coule et glisse sur notre joue,
Et aveugle notre vision déjà floue,
De notre existence.
 
 
Tandis que [N….o….u…s] JE m’enfonce,
Les images du ciel bleu ME reviennent, sans aucune once
De pitié.
Ce ciel qui NOUS a vu naître un beau jour d’été
Ce même ciel qui nous contemple, hautain
Disparaître sous sa main.
 
 


Mes dernières paroles : Merci…