Infinité azurée,
Bleu de l’océan, bleu du ciel étoilé,
Laisse-nous librement voguer
Dans ton immensité bleutée.
Puis viennent les heures claires,
Et l’espoir avec elles.
Puis quelque chose de soudain,
D’incertain et de malsain [m’étreins
Et les heures sombres arrivèrent.
Infinité rosée,
Mais où sont-elles passées ?
Ces roses roses qui nous émerveillaient
J’en appelle au Printemps ! Ainsi qu’à
La Nature pour retrouver l’éclat
Des roses et leur odeur qui m’est si familière.
Et pour retrouver ce ciel rosé qui m’est si cher,
J’en appelle à l’aube !
Ainsi qu’à la Lune et au Soleil !
Puis viennent les heures claires,
Et l’espoir avec elles.
Puis quelque chose de soudain,
D’incertain et de malsain [m’étreins
Et les heures sombres arrivèrent.
Infinité grisée,
Le ciel gris de la monotonie
M’aveugle et la fumée grise ; emplit
Pleinement mes narines ; de la ville
Qui m’apparaît tel un milieu hostile !
Ô que faire !
Face à cette affaire !
L’Homme trahit l’existence de la vie,
Brume glacée témoignant d’un espoir qui fut trahit…
Puis viennent les heures claires,
Et l’espoir avec elles.
Puis quelque chose de soudain,
D’incertain et de malsain [m’étreins
Et les heures sombres arrivèrent.
Infinité colorée,
Lorsque le ciel pleurera
Pour crier toute sa colère,
Et que le Soleil brillera
Pour dévoiler tout son éclat stellaire,
L’infinité colorée se déploiera.
Rouge.
Orange.
Jaune.
Vert.
Bleu.
Violet.
Et bien d’autres encore,
Se déploient tels une fleur,
Qui déploie ses pétales d’or.
Puis viennent les heures claires,
Et l’espoir avec elles.
Puis quelque chose de soudain,
D’incertain et de malsain [m’étreins
Et les heures sombres arrivèrent.
Un sentiment d'exaltation du cœur...
